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En tant que graphiste, vous êtes avant tout un communicant. Vous devez faire passer un message. Vous donnez une identité visuelle à tous les types de documents qui passent entre vos mains. Vous êtes aussi un créateur, vos réalisations sont protégées par le droit d’auteur.
Dans cette fiche on vous explique comment vous lancer, constituer votre clientèle, rédiger des devis et des contrats, gérer votre comptabilité et votre fiscalité, etc.
Être graphiste c’est faire un métier de la communication.
Vous devez avant tout faire passer un message, par le biais d’éléments visuels, graphiques.
Tous les supports sont envisageables : print (papier), numérique, objet, web (internet), vidéo.
Tout type de formes visuelles peut vous être demandé : logo, maquette de livre, dessin (animé ou non, motion design), identité graphique d’un site web (web design), police d’écriture, charte graphique, packaging d’une marque, etc.
Le métier est très pluri-disciplinaire. Vous pouvez être maquettiste, designer graphique, motion designer, directeur artistique (DA), etc.
Votre création peut servir un but commercial ou non, une campagne publicitaire, une action associative, un festival, l’identité visuelle d’une entreprise, d’une chaîne de magasins, d’un artisan boulanger ou d’une marque de luxe, etc.
Le graphiste d’aujourd’hui n’est pas forcément un dessinateur, même si cela peut être un « plus ». Si vous n’êtes pas bon en dessin, vous devrez par exemple faire appel, suivant le projet, à la collaboration d’un illustrateur.
Le graphiste professionnel a un statut juridique particulier, celui d’artiste-auteur.
Vous êtes affilié à la sécurité sociale des artistes-auteurs.
Pour toute question sur vos démarches, vous pouvez vous adresser à l’interlocuteur ci-dessous :
Être graphiste, c’est créer une œuvre originale. Personne d’autre que vous ne peut revendiquer être l’auteur de vos réalisations.
Le fruit de votre travail est protégé par le code de la propriété intellectuelle.
On parle ainsi de droit d’auteur sur vos réalisations.
Vous pouvez défendre ce droit devant la justice si celui-ci est menacé.
De plus, vous facturerez ces droits d’auteur à vos clients afin qu’ils puissent utiliser vos créations.
Pour allez plus loin sur la propriété intellectuelle et le droit d’auteur, vous pouvez consulter les documents – APPLICATION/PDF – 3.2 MB et le site internet de l’Inpi .
Être graphiste signifie que vous n’êtes pas lié à une entreprise ou à une personne par un contrat de travail.
On parle aussi de travailleur non salarié (TNS).
Vous devez avoir conscience des caractéristiques propres au travail en indépendant.
On peut en citer quelques-unes :
Autonomie. Vous n’avez pas de relation hiérarchique avec un patron, vous êtes votre “propre maître”, vous choisissez vos commanditaires, vous pouvez refuser certains travaux. Vous devez donc être organisé et responsable.
Liberté. Vous décidez de vos horaires, vous choisissez votre lieu de travail et les collègues avec qui éventuellement vous souhaitez partager un bureau (coworking). Vous devez donc être discipliné et régulier.
Solitude. Même si vous faites appel à un comptable pour votre gestion financière, même si vous travaillez en coworking, vous serez souvent seul à prendre les décisions importantes (travail, devis, contrats, choix de partenaires et de clients, évolution et développement d’activité, etc.).
Elles seront vécues comme des avantages pour certains, comme des inconvénients pour d’autres.
Vous devez réfléchir en amont à ce qui vous convient ou non.
Des tests élaborés par CCI France peuvent vous aider à définir vos traits de caractère et vos compétences en lien avec une activité d’entrepreneur indépendant.
Non, aucun diplôme n’est obligatoire. Graphiste n’est pas une profession dite réglementée .
Il est cependant conseillé d’avoir suivi une formation en design, en école d’art, etc..
En pratique, en tant qu’indépendant, il est rare qu’un client vous demande de montrer votre diplôme.
Âge
En tant qu’artiste-auteur indépendant, vous pouvez commencer à travailler dès l’âge de 16 ans.
Logiciels
Vous devez maîtriser les logiciels de création graphique.
Savoir dessiner n’est pas indispensable, tout dépend de vos choix, de vos commandes. Mais le dessin peut constituer un atout supplémentaire. Sachez aussi que plus vous aurez de cordes à votre arc, plus vous pourrez répondre à différentes commandes. Par exemple la calligraphie tend à être davantage sollicitée pour faire des logo, des diplômes, des cartes d’invitation, des affiches, etc.
Portfolio
Il est indispensable de constituer votre portfolio.
Il doit être prêt avant de vous lancer.
C’est l’élément persuasif le plus efficace pour convaincre un client et obtenir une commande.
Pour tout savoir sur la déclaration de votre activité et les démarches administratives d’un artiste-auteur, consultez notre page dédiée à ce sujet.
En tant qu’indépendant, l’artiste-auteur est considéré comme un entrepreneur individuel.
Vous devez déclarer votre activité sur le site internet du guichet des formalités des entreprises.
Vous devez créer un compte personnel. Puis vous devez cliquer sur la colonne « Entreprise » puis sur « Déposer une formalité d’entreprise ». Un formulaire en ligne interactif de 8 pages vous est proposé ; vous devez le remplir pas à pas. Un mode d’emploi est proposé sur ce site internet du Guichet unique.
À la suite de votre déclaration d’activité, vous recevrez automatiquement vos numéros d’identification : Siren, Siret et code APE. Ils seront à votre disposition sur votre espace personnel du Guichet des formalités des entreprises.
Comme son nom l’indique, le code APE désigne votre “activité principale exercée”.
C’est l’Insee qui l’attribue automatiquement à la suite de votre déclaration d’activité.
Vous le recevez directement sur votre espace personnel du site du Guichet des formalités des entreprises dès que votre déclaration est acceptée.
En cas de cumul d’activités, vous aurez le code APE de l’activité la plus rémunératrice, c’est-à-dire celle qui, par an, vous rapporte le chiffre d’affaires le plus important.
Le code APE du graphiste est généralement celui-ci : 7410 Z. Il s’agit de celui dévolu aux .
Un seul Siren est donné par personne physique.
C’est l’Insee qui l’attribue automatiquement à la suite de votre déclaration d’activité.
Vous le recevez directement sur votre espace personnel du site du Guichet des formalités des entreprises dès que votre déclaration est acceptée.
Vous aurez autant de numéros Siret que d’adresses professionnelles déclarées.
Dès que vous avez effectué votre déclaration d’activité, vous recevez automatiquement votre Siret.
Vous le recevez directement sur votre espace personnel du site du Guichet des formalités des entreprises dès que votre déclaration est acceptée.
Lorsque vous exercez des activités différentes mais déclarées à une seule et même adresse, vous aurez 1 seul Siret.
Dans la pratique, un graphiste est souvent amené à cumuler plusieurs types d’activités.
Qui dit cumul d’activités, dit souvent cumul de statuts, de formes juridiques.
Vous pouvez par exemple cumuler les 3 statuts suivants :
le statut d’artiste-auteur,
celui de micro(auto)-entrepreneur,
et parfois celui de salarié.
Concernant le cumul du statut d’artiste-auteur avec celui de la micro-entreprise, nous vous invitons à consulter notre contenu détaillé sur le sujet.
À tout moment vous aurez besoin de poser vos questions à une personne experte de votre statut professionnel.
Les experts de la sécurité sociale des artistes-auteurs sont là pour vous aider dans vos démarches :
L’expression activités accessoires est employée spécifiquement pour certaines activités des artistes-auteurs.
Le terme s’applique à des activités très proches de l’activité principale de l’artiste.
Elles sont donc censées êtres secondaires, que ce soit en terme de rémunération que de temps consacré.
Il s’agit par exemple des activités suivantes :
Rencontres publiques et débats en lien avec l’œuvre de l’artiste-auteur
Ateliers, cours, enseignements donnés dans l’atelier ou le studio de l’artiste-auteur (maximum 5 par an)
Participation à la conception d’une œuvre d’un autre artiste (maximum 4 par an)
Domicilier votre activité
Quelle que soit l’option que vous choisissez pour votre lieu de travail, vous devez déclarer cette adresse professionnelle. La démarche est différente selon si vous domiciliez une entreprise individuelle (dont microentreprise) ou si vous domiciliez une société.
Vous souhaitez utiliser votre habitation comme lieu de travail.
Vous allez donc changer l’usage d’une partie de votre domicile.
Il faut prévenir les impôts de ce changement dans les 3 mois qui suivent le début d’activité.
Cependant il est prudent de vous assurer que ni le contrat de bail (si vous êtes locataire) ni les règles d’urbanisme ne s’y opposent.
Pourquoi choisir un espace de travail partagé, appelé coworking ?
En tant qu’indépendant, vous serez seul à décider de l’organisation de votre travail.
Êtes-vous capable de vous discipliner tous les jours à travailler ? Même dans les périodes où vous n’avez pas de commandes auxquelles répondre ?
Un espace de coworking peut alors se révéler être une bonne option.
Ce sera aussi un espace de partage d’expériences et de conseils. C’est en effet auprès d’autres graphistes plus expérimentés que vous apprendrez le plus sur la pratique de votre métier.
Le coworking permet aussi de partager certains frais et équipements : imprimantes, machine à café, salle de réunion avec vos clients, etc.
Le loyer dépend de la localisation des bureaux, mais il est souvent faible du fait du partage.
Pour développer votre clientèle, vous devez gagner en visibilité.
Plusieurs démarches sont recommandées. Elles sont toutes complémentaires, vous devez les mener de front.
Si vous devez cependant faire un choix, commencez par :
Développer le bouche-à-oreille à partir de vos premiers clients
Créer un blog et être présent sur les réseaux sociaux.
Soyez prudent face des clients qui n’abordent pas le financement de vos prestations. Évitez-les au maximum.
Vous ne pouvez pas vous permettre de perdre votre énergie. Elle doit être consacrée à la recherche de véritables clients qui pourront vous payer à la hauteur de votre travail et de votre mérite.
N’ayez pas peur de parler argent. Vous apparaîtrez d’autant plus sérieux et professionnel.
Toute commande doit être accompagnée d’un devis signé par le client et vous-même, avant d’entamer tout travail.
Ce devis doit mentionner le tarif de votre prestation.
Vous devez porter une attention toute particulière à vos premiers clients et soigner vos premières commandes.
La confiance que vous gagnerez auprès d’eux vous amènera d’autres clients.
Le bouche-à-oreille à l’intérieur de réseaux de professionnels reste la meilleure façon de créer une réputation solide et durable.
Vous devez rendre votre travail visible sur internet.
L’objectif est de mettre en avant les aspects suivants :
Votre portfolio, vos précédentes réalisations en accord avec vos clients,
Votre personnalité graphique
Vos retombées dans la presse et sur les réseaux sociaux
Vos projets, vos aspirations, vos réseaux
Votre contenu sur internet doit inspirer confiance en véhiculant une image positive et professionnelle.
La création du site ne suffit pas, il faut qu’il soit correctement référencé.
Référencement naturel
Le référencement naturel ou SEO (Search Engine Optimization) consiste à améliorer les aspects techniques (vitesse de chargement, comptabilité avec les téléphones mobiles) et rédactionnels (présence de mots-clés) de votre site internet.
Un bon référencement permet d’apparaître dans les premiers résultats de recherche des internautes et d’augmenter ainsi le trafic sur vos pages web.
Vidéos
Si vous avez la possibilité de vous filmer ou de filmer vos créations pour les valoriser, vous alimenterez encore mieux le trafic sur vos pages web.
Sachez que raconter une histoire pour montrer votre travail, est très prisé par les internautes et les entrepreneurs, c’est ce que l’on nomme le .
Cette communication est devenue indispensable.
Elle vous demandera d’y passer du temps.
Vous devez planifier des apports de contenu de façon hebdomadaire, dans l’idéal 3 fois par semaine.
Vous pouvez consulter nos conseils pour organiser votre communication digitale.
Attention : vous pouvez émettre votre première facture seulement après avoir reçu votre numéro Siret.
Il s’agit de déterminer le tarif de vos prestations, c’est-à-dire le coût de votre travail.
Ce coût varie selon 3 principaux critères :
Votre expérience : graphiste débutant à confirmé
La localité : petite, moyenne ou grande ville
Votre statut ou celui de votre entreprise : artiste-auteur, entrepreneur, seul ou associé, petite ou grande société
Il est conseillé de définir votre coût horaire ou un forfait journalier.
Les tarifs sont très variables. Vous trouverez des conseils auprès d’autres graphistes expérimentés.
Pour un débutant, le coût horaire se situe entre 60 € et 90 € de l’heure.
Le but est que le client utilise votre création.
Vous devez donc lui céder un droit d’utilisation, c’est ce que l’on appelle la cession des droits d’exploitation.
L’exploitation de votre œuvre consiste généralement en sa reproduction et sa diffusion à des fins commerciales.
Vous devez définir de quelles manières vous autorisez cette reproduction et cette diffusion.
Facturer des droits d’auteur à un client signifie en réalité lui facturer le droit d’utiliser votre œuvre.
L’utilisation de votre œuvre doit être définie précisément selon 3 paramètres :
Format : web ou print, combien d’exemplaires si c’est un format print, combien de déclinaisons envisagées (carte de visite, plaquette, banderoles), combien d’établissements concernés si c’est une enseigne commerciale, etc.
Durée : par exemple 1 à 3 mois pour une campagne publicitaire, 10 ans pour le logo d’un artisan
Territoire : diffusion locale, nationale ou internationale
Vous devez regrouper ces éléments et les formaliser dans un contrat de cession de droits.
En résumé, le contrat de cession de droits d’exploitation doit mentionner les points suivants :
qui est le propriétaire des droits (vous)
qui va utiliser votre œuvre
comment
combien de temps
et où.
Le contrat doit être rédigé de façon claire et précise.
En effet, en cas de problème (recours en justice), les imprécisions comme par exemple la mention “etc” qui serait utilisée pour définir les droits que vous cédez, seront pénalisantes.
Avant de rédiger un devis, vous devez avoir défini au préalable vos honoraires, c’est-à-dire votre coût horaire ou votre forfait journalier.
À la rédaction du devis, le plus important est de définir le temps que vous allez mettre à réaliser la commande. Cette évaluation se fait en lien avec votre client.
Il s’agit d’être juste, clair, précis et en accord avec votre client.
Le devis est le contrat qui acte la relation de travail entre votre client et vous. C’est un élément de dialogue.
N’ayez pas peur de parler argent.
Pour être valide, le devis doit être signé par les 2 parties (vous et le client).
Vous ne devez pas débuter votre travail de création avant cet accord signé.
Même si ce n’est pas une obligation, faire un devis est conseillé.
En plus des éléments décrits dans les paragraphes précédents (qui, comment, où, combien de temps, quel tarif, etc.), vous devez penser à y inscrire les autres points suivants :
Numéros d’identification : Siret, et de façon utile mais facultative votre code APE (ou code NAF)
Numéro intracommunautaire de TVA ou bien la mention : “TVA non applicable, article 293 B du code général des impôts” si vous êtes en franchise de base de TVA.
Propriété intellectuelle : clause de cession de droits d’exploitation (vous délimitez les droits cédés). Donnez les références du code de la propriété intellectuelle, par exemple : « articles L111-1 et suivants définissant le droit d’auteur » et « article L. 131-3 précisant les mentions à indiquer dans les contrats d’exploitation »
Précisez aussi si la cession est exclusive ou non, et si oui pendant combien de temps.
Conditions de vente et mention du code du commerce : “articles L 441-3 et L 443-6 du Code de commerce” avec par exemple le délai de paiement, la pénalité en cas de retard de paiement, etc.
Quels sont vos revenus ?
Vos revenus peuvent être de nature aussi diverses que vos statuts.
Vous pouvez ainsi recevoir des revenus de vos droits d’auteur et des honoraires, qui constituent au total le chiffre d’affaires de vos prestations de travailleur indépendant.
Pour déclarer vos revenus, vous devez vous rendre dans l’espace Particulier du site internet des impôts
.
Pour votre activité d’artiste auteur, vous devez cocher la case des “revenus non commerciaux professionnels“.
Désignant vos revenus, vous entendrez souvent parler de .
Autres activités, autres revenus
Si vous exercez aussi une activité commerciale, artisanale ou commerciale en parallèle, vous cocherez la case des “revenus industriels et commerciaux professionnels”.
Dans le cas d’une activité salariée, vous cocherez la case “Traitements et salaires”, l’administration fiscale l’aura pré-remplie.
Quel régime d’imposition choisir ?
Vous avez le choix entre 2 grandes options :
Le régime micro-fiscal dit régime simplifiée avec une déclaration simplifiée si vous êtes sous le statut de la micro(auto)-entreprise. On parle alors de micro-BNC pour désigner vos bénéfices.
Le régime normal dit de la déclaration contrôlée. Le choix dépend principalement du montant de votre chiffre d’affaires annuel.
À noter : au-dessus de 77 700 € , vous ne pouvez plus bénéficier du régime micro social, vous passez automatiquement dans le régime “normal”. En-dessous de ce seuil, même si vous êtes micro-entrepreneur, vous pouvez choisir le régime normal de déclaration contrôlée.
Vous pouvez utilement consulter la fiche pratique « Remplir votre déclaration fiscale » de la Maison des artistes.
On parle de frais généraux ou de charges déductibles.
Vous pouvez les déduire de vos recettes afin de diminuer vos impôts.
Votre revenu imposable est ce qu’on appelle votre bénéfice imposable. Il est calculé par la différence entre vos recettes et vos dépenses (vos charges).
Vous devez donc tenir un registre comptable détaillé et régulier de vos dépenses et de vos recettes.
Selon le régime d’imposition que vous aurez choisi, vous aurez droit à des conditions différentes d’abattement pour vos frais généraux.
Le pourcentage de réduction sur vos bénéfices sera différent (soit un forfait pour le régime simplifié, soit la réalité des frais pour le régime normal).
On vous indique quels professionnels peuvent vous aider dans la gestion de votre activité.
Vous êtes affilié à la Sécurité sociale des artistes-auteurs.
Une branche spécifique de l’Urssaf gère votre dossier.
Vous bénéficiez ainsi des mêmes droits sociaux que les salariés.
Pour bénéficier d’une protection sociale, vous devez déclarer et payer des cotisations sociales.
Pour cela vous devez créer votre espace personnel sur le site de l’Urssaf des artistes-auteur.
Seuls les revenus déclarés et imposés en bénéfices non commerciaux (BNC) doivent être déclarés auprès de l’Urssaf des artistes-auteur. Si vous avez d’autres revenus (commerciaux ou libéraux par exemple), vous devez les (Urssaf des indépendants par exemple).
Vous pouvez les contacter en cas de besoin :
Graphiste est un métier fortement évolutif, notamment du fait des technologies numériques qui se créent, changent et s’améliorent très vite.
Vous devez vous tenir informé des aspects suivants :
Les logiciels de création
Les changements de société (par exemple : explosion des communications écrites sur son téléphone et sur les réseaux sociaux)
Les modes graphiques
Dans un contexte sociétal et technologique très changeant, vous devez suivre des formations continues pour sans cesse développer des compétences.
Grâce au paiement de vos cotisations sociales, vous avez droit à ces formations.
Vous devez donc veiller à être à jour du .
En tant que graphiste, vous bénéficiez des formations destinées aux artistes, via un fonds d’assurance, l’ Afdas .
Les conseillers régionaux de l’Afdas vous accompagnent dans vos démarches :
L’Afdas vous explique quelles sont les conditions de revenus à remplir pour bénéficiez des formations . Des plans d’aides exceptionnels ont été mis en place suite à la crise sanitaire du Covid.
Si votre activité se développe, vous serez peut-être amené un jour à embaucher votre 1er salarié.
On vous explique en détail comment procéder à votre 1re embauche.
Vous y trouvez toutes les formalités selon le type de contrat et de salarié (alternance, intérim, salarié mineur, étranger, etc.).
En accroissant votre activité, vous aurez peut-être l’occasion ou l’envie de vous associer avec d’autres graphistes.
Pour cela vous pourrez créer une société.
On vous présente les différentes formes de sociétés possibles.
Vous pouvez également consulter notre dossier spécialisé dans la gestion d’entreprise, en fonction des changements dans votre vie professionnelle.
Par téléphone
Du lundi au vendredi : de 9h à 17h
0 806 804 208 (prix d’un appel local)
Par messagerie
http://www.secu-artistes-auteurs.fr/contact
Par courrier
60 rue du Faubourg Poissonnière
75010 Paris
Par téléphone
Du lundi au vendredi : de 10h à 12h
01 42 25 06 53
Par messagerie
https://www.lamaisondesartistes.fr/site/contact/
Sur place ou par courrier
Du lundi au vendredi : de 10h à 17h
11 Rue Berryer
75008 Paris
Par mail (courriel)
https://www.artistes-auteurs.urssaf.fr/aa/accueil
Par courrier
Urssaf Limousin
Pôle artistes-auteurs – TSA 70009
93517 MONTREUIL CEDEX
Centre national des arts plastiques
Tour Atlantique
1 place de la Pyramide
92911 Paris-La Défense
France
Tél. +33(0)1 46 93 99 50
Formulaire de contact en ligne :
https://www.cnap.fr/contact
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